Être enceinte en pleine pandémie

Surprise! Eh oui, si vous me suivez sur instagram, vous avez probablement appris la nouvelle déjà, mais on attend un petit bébé pour le mois de septembre! Je suis évidemment aux anges, mais je dois vous avouer que la situation actuelle qui fait qu’on soit tous cloîtrés à la maison rend mon bonheur, disons-le, teinté d’inquiétude.

C’est ma première grossesse, j’ai mille questions en tête, et évidemment, l’anxiété de la pandémie a eu le dessus sur mon premier trimestre. Je dois dire que je vais vraiment mieux aujourd’hui (peut-être est-ce parce que le beau temps est enfin arrivé?) mais je me rappellerai toujours de cette grossesse comme un moment étrange. Après avoir eu peur que les hôpitaux n’acceptent plus les papas lors de l’accouchement (j’ai d’ailleurs écrit un article sur le sujet sur le blogue de La Journaliste parce que j’avais besoin de ventiler) je me sens plus en confiance sur l’avenir. Je sens qu’on voit la fin de ce confinement approcher peu à peu, pas vous?

Les défis d’être enceinte durant une pandémie

Lors de mon premier rendez-vous avec mon médecin, la pandémie était déjà là, et l’anxiété générale s’installait rapidement. Tout s’est bien déroulé, mais je n’ai eu à peine qu’une minute pour poser toutes mes questions en rafale. Et puis, je suis repartie avec de la paperasse en main, et quelques points d’interrogation en tête! Le lendemain, je dois avouer que j’ai craqué. Qui pouvait m’orienter, répondre à mes questions, me dire à quoi m’attendre au cours des prochaines semaines? J’ai appelé en panique l’équipe de Prenato, un réseau de cliniques privées dédiées aux femmes enceintes, et j’ai eu le bonheur de jaser avec une gentille infirmière pendant plus d’une quinzaine de minutes. Lorsque j’ai raccroché de mon appel avec la jolie Charlotte (aussi maman!), j’avais les larmes aux yeux en la remerciant pour sa précieuse aide.

Voyez-vous, lorsqu’on vit une première grossesse, on ne connait pas nécessairement la différence entre une clarté nucale ou une simple échographie, on ignore les règles qui entourent les prises de sang ou les vaccins à recevoir, et on se demande si on devrait faire les tests de dépistage pour la trisomie ou non. Toutes ces questions me brûlaient les lèvres, et bien que je sois consciente qu’on est extrêmement chanceux d’avoir un si bon système de santé au Québec, je peux vous garantir que les médecins sont débordés, encore plus lors d’une pandémie.

Je connaissais l’existence de Prenato pour avoir vu plusieurs personnes parler d’eux sur les médias sociaux, mais ce n’est que le jour où je suis tombée enceinte que j’ai vraiment compris les avantages de faire affaire avec une clinique privée. Au lieu de me sentir seule et angoissée, j’ai reçu un support personnalisé et vraiment humain avec l’équipe de Prenato, et comme je l’ai mentionné lors de mon annonce de grossesse, je ne sais sincèrement pas ce que j’aurais fait sans elles!

J’ai eu la chance de faire ma première échographie au privé – et non à l’hôpital – en plus de faire mon test de dépistage génétique (lequel vise à s’assurer qu’il n’y a pas d’anomalie au niveau de l’ADN) avec l’équipe de Prenato, et je compte bien continuer à faire le plus de mes rendez-vous possibles avec eux! La simple idée d’éviter les hôpitaux en ce moment me rassure, mais je suis aussi heureuse de pouvoir avoir une écoute et une équipe qualifiée qui est là pour m’épauler et me supporter. Si vous êtes enceinte en ce moment et que vous vivez de l’inquiétude, je ne pourrais vous recommander plus chaudement de contacter une clinique privée comme Prenato, ils pourront assurément rendre votre expérience plus agréable et vous accompagner dans votre grossesse.

Sachez que je ne suis pas payée par Prenato pour vanter leurs services ce point!

Alors voilà, je termine en vous disant que vous risquez de voir un peu plus de contenu maternité et maman au cours des prochains mois, mais que je garderai évidemment mon amour pour la mode et la beauté à travers tout cela! À toutes les femmes enceintes qui me lisent, je vous dis #çavabienaller.